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BIBLIOGRAPHE

Les Forces politiques et la Fin du cycle

La conception de la vie changera avec le contact extérieur. L’homme sera troublé dans sa conscience, et les nations témoigneront de choses que seuls les sensitifs reconnaissent aujourd’hui comme faisant partie de l’avenir de l’humanité. Autant la science matérialiste a étouffé la conscience spirituelle de l’homme, autant elle pliera l’échine devant les forces occultes des mondes parallèles qui viendront vers la terre. L’homme ne représente qu’une partie infime des intelligences en évolution, et sa conscience mentale sera élevée pour qu’il reconnaisse que la vie de sa race ne dépend pas simplement de son libre-arbitre, tel qu’il a été amené à le croire au cours de l’involution pour des raisons d’évolution psychologique.

Les gouvernements de la planète seront élevés en fonction universelle ; les temps nouveaux feront de l’homme un être dont la valeur de vie sera absolue. L’hypocrisie politique sera éliminée par une main de fer. Jamais les hommes n’auront connu si grand déploiement de puissance créative sur le globe, et la majorité des hommes ne comprendront pas ce qui se trame dans les sphères du pouvoir. Mais ils sauront qu’un nouveau règne est descendu sur terre, et que les assassins de l’homme seront pourchassés sans pitié pour leur crime contre l’humanité. Car les forces de l’ordre nouveau seront libres d’agir selon les lois de vie insensibles à la coloration émotive qui a rendu l’humanité victime de pouvoirs excessifs au cours de l’involution.

La conscience des nations évoluera rapidement sous l’effet de la transparence des forces politiques occultes. Elle sera fortement propulsée par la matérialisation de races venant des univers parallèles, mondes plus avancés dans la science politique des globes. L’interpénétration de deux niveaux de vie créera le choc nécessaire à l’amélioration de la conscience politique de la terre, dépourvue maintenant de volonté politique créative et intégrale. La conscience politique des peuples de la terre, selon les modes anciens tels qu’appliqués dans le monde, sera accélérée par des lignes de force qui renforceront l’interdépendance des cultures et des systèmes de valeurs liés à l’infrastructure expérientielle des peuples. L’esprit des nations sera élevé en conscience et permettra une accélération des développements économique, politique et scientifique, dont a besoin la communauté internationale pour exercer son droit d’appartenance à l’évolution des systèmes galactiques. La conscience des nations ne tient aujourd’hui qu’à la mémoire des peuples, alors qu’elle devrait être fondée sur la science et la conscience de systèmes plus évolués, dont l’expérience évolutive s’est perfectionnée au cours des âges alors que la terre n’était qu’à ses débuts expérientiels. La terre a grandement besoin d’un choc psychologique pour se sortir de son sous développement, de plus en plus axé sur la violence qui détériore la fabrique sociale à tous les niveaux. Cette violence cessera lorsque l’homme aura réalisé qu’il n’est pas le seul être dans le cosmos, et que les sphères surveillent de loin son évolution.

L’élimination de la violence sous toutes ses formes exigera que l’homme prenne conscience de la dimension spirituelle de son existence, dimension qui dépasse l’aspect purement religieux. La connaissance des mondes en évolution, à cause de leurs différents degrés de réalité et de perfectionnement relatifs, crée dans l’esprit de l’homme une conscience réflective incapable de supporter l’idée des mondes parallèles sans la spiritualiser, car le mental inférieur est fondé sur la conscience de la mémoire ancienne. Or, cette mémoire ne fait pas partie de la réalité universelle des mondes, mais de l’inconscience face à la multidimensionnalité des univers en évolution.

La violence sur terre, dans sa forme la plus primitive, tire sa force de l’inhabilité de l’homme à pouvoir supporter mentalement la relation intelligente, télépathique et éthérique entre le plan matériel et les plans subtils. Ceux-ci constituent, absolument parlant, un degré supérieur de vie en instance de communication mentale avec le sien, et pouvant le préparer à passer de l’involution à l’évolution de la conscience de la matière, c’est-à-dire à la conscience des autres plans de vie qui constituent la grande réalité universelle des mondes en évolution.

Le problème fondamental des forces politiques sur terre est relié à l’impuissance des gouvernements dans leur rôle face à l’éradication de la violence, alors que celle-ci traduit l’expérience de l’homme en une lutte constante pour la survie de l’espèce. La violence existe sous toutes sortes de forme, et les gouvernements seront appelés à prendre conscience qu’elle doit être abolie à tout prix si les nations veulent évoluer au-delà du besoin primaire de la survie nationale. Le contact entre la terre et les intelligences d’un autre temps forcera l’humanité à se reconstruire psychologiquement et psychiquement, puisque le choc culturel que créera cette intervention créative dans la conscience de la terre fera craquer le moule de l’involution. Les nations se feront secouer et le réveil sera difficile, car les hommes ne sont pas encore suffisamment près de leur réalité intérieure pour absorber intérieurement un tel choc. D’ailleurs, le contact entre le temps de la planète terre et d’autres temps ne se fera que dans la mesure où l’humanité en aura grandement besoin, et sans conditions.

Les forces politiques de la terre seront éveillées à la multiplicité des mondes et à l’interdépendance des plans de vie. Le progrès de la technologie interfère avec l’ordre cosmique des sphères. Tant que la situation n’aura pas atteint un degré de danger irréversible, le contact entre la terre et les mondes parallèles sera retenu. La conscience de la terre doit être élevée, car les hommes ne font pas simplement partie de l’évolution de la terre mais aussi d’autres systèmes parallèles, puisque l’univers est multidimensionnel. Cette réalité appartient à l’universalité des mondes et à la complexité des systèmes en évolution. Les âges de l’univers varient selon le taux vibratoire de la lumière, et non selon une forme quelconque de linéarité conceptualisée par le mental inférieur de l’homme.

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